Message d'un Ancien.- C'était le lieutenant Poitou qui commandait les force locale en 1962 a Tiliouat
Et Informations sur le 19 ème RCC Journal l'Ancien d'Algérie
Quatre pages d'information pour ce régiment le 19 RCC sur le journal l'Ancien d"Algérie de la FNACA et simplement 5 petites lignes sur les deux unités de la Force locale constitués par ce régiment, (et en plus avec deux erreurs pour les numéros des forces locales),
Les UFL 417et 418 ont déjà figurés sur ce journal l'Ancien d'algérie "C'était votre unité " sur le 51ème Regiment d'Infanterie.
Erreur de frappe vient de me confier Jean Louis Cerceau par message ?????
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Ce fut exactement 4 mois de classe , puis pour tous la ventilation sur l' Algérie . en ce qui me concerne , je suis resté 10 mois de plus en France j ai étè affecté a la CCS et au foyer du 2° HUSSARDS puis le 18 02 62 diriges sur le 19° RCC en Algérie a Bouira en petite Kabilye jusqu au 19 03 62 Opérationnel , et puis 3 mois de FORCE LOCALE jusqu a fin juin ; et ,,,,,,,,,,,,,, 3 mois d hopital pour une jaunisse carabinée . ensuite rejoint le régiment qui est dissout , les non libérables ventilés sur différents régiments en Algérie , et nous les libérables rappatriés en France , a Sissonne dans l 'AISNE libéré le 20 11 62
Photo de cet ancien ; Lilian Dumont de la Force locale Algérienne 457 UFL-UFO
03.1962 : Affecté au 5ème Peloton au P.C. de Tilouat (Petite Kabylie).
10.04.1962 au 02.07.1962 : Envoyé au camp de Saharidj et "intégré" avec ses camarades Français au sein du nouveau 457e U.F.L./U.F.O. (Armée Algérienne).
Le 28.06.1962 : Désertion de combattants du F.L.N. au sein du 457e U.F.L./U.F.O.
Le 02.07.1962 : Répression par les combattants du F.L.N. du 457e à l'encontre de leurs déserteurs de la journée du 28.06.
Le 04.07.1962 : Indépendance de l'Algérie.
Du 28.06.1962 au 02.10.1962 : Hospitalisé à l'hôpital militaire Ducros de Blida pour cause de jaunisse sévère
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alexdumont-castells.wifeo.com/lilian-dumont-soldat-.php
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Copies) Des vies et des Guerres
Livre de Lilian Dumont
LORSQUE LE 5e ESCADRON DU 19e R.C.C. FRANÇAIS DEVINT
457e U.F.L.
Entre le 11 et le 15 avril 1962, d'importants contingents d'appelés F.S.N.A. intégrèrent, entre autres, le 5e escadron du 19e R.C.C. où se trouvait incorporé Lilian ; ils complétèrent et remplacèrent aussi les diverses unités françaises basées dans la région. Les « Unités de
Lilian Dumont : « Pourtant, cela n’allait pas durer longtemps cette petite vie peinarde à peine les 15 premiers jours d’avril. Puis, un matin, nous eûmes la visite d’officiers : capitaine, commandant, etc., et de gars en renforts. Des camions étaient chargés de literies et d'armoires et ils réaménagèrent tous les dortoirs. Tout ce beau monde resta parmi nous trois jours. Et le deuxième jour, au soir, une armada de G.M.C. arriva avec un tas de gars.
C'étaient tous des F.S.N.A. : 300 gus ! Ils furent aussitôt affectés par pelotons. Ah ! J’oubliais, il y avait une jeep avec à son bord un lieutenant (deux barrettes), et deux sergents dans un autre véhicule et d’autres sous-officiers tous F.S.N.A. (...).
LA CUISINE RAFFINÉE DE O...
Lilian Dumont : « Le cuistot Normand O..., lui il fallait le dire ; il les cherchait toutes... Un jour, il annonça : « Au menu... civet de lièvre ». Il alla au village et négocia quelques marchandises. Le village de Saharidj était plus grand que Tilouat avec deux boutiques kabyles. Il nous dit : « Des braconniers ont fait du lièvre ». Bon soit ! On se pourléchait les babines. Le midi, ce fut un royal repas en terrasse devant les cuisines. Ce fut divin ; la sauce fut extra, les quelques patates bouillies furent bien accommodées, hum !… Quand tout le monde eut fini ; chacun vaqua à ses occupations. Moi je retournai dans mon foyer ; l’armurier partit dans sa soute ; le gars du casernement (le bricoleur) s'en retourna à ses outils et mon O..., fit le grand lavage dans ses cuisines. Il fallait dire qu’à Saharidj, l’eau ne manquait pas. Nous étions approvisionnés par les deux gros barrages à
LE DÉPART DÉFINITIF POUR BLIDA (26-27 JUIN 1962)
Lilian Dumont : « Nous étions courant juin 62, un malaise régnait dans le cantonnement. Ça ne tournait pas rond à ce que nous comprenions. H.... était en rendez-vous constant avec notre sous-lieutenant, puis vers le 20-21 juin 62, ce fut un grand rassemblement pour nous annoncer que de Saharidj nous allions déménager vers Blida au sud d’Alger. Ce qu’ils appelaient à l’époque la « Mitidja » : « le jardin d’Alger » en Arabe ; car c'était le pays des orangers, des fruits et des légumes).
Mais, car il y a un mais, une dizaine de jours avant le déménagement, je commençais à ressentir une certaine lassitude. J'urinai noir comme du café, et l’infirmier qui était en même temps l’armurier du camp (il était vraiment infirmier dans le civil) me dit : « Dumont, tu as une bonne jaunisse ; il faut absolument que tu rejoignes la base (le 19e R.C.C.) ». Mais ce tordu, d'H...., ne voulut rien savoir. Il fit la sourde oreille et demeura intraitable ; même notre sous-lieutenant ne put rien pour intercéder en ma faveur auprès d'H....
Finalement, nous avons déménagé vers le 26-27 juin 62 ; l’enfoiré d'H.... m’avait même interdit mon transport par ambulance. Il toléra à peine que je sois transporté à l’arrière d’une jeep en plein soleil. Chose qu’il ne fallait surtout pas faire avec une jaunisse. Avant de sombrer, j’ai demandé à l’infirmier (je ne me rappelle plus de son nom…) de prendre en charge mon chien Pipper. Je lui dis qu’il serait un bon second pour garder son armurerie. L'homme accepta (...).
Des captures de certaines pages du livre de Lilian Dumont, qu'on pouvait lire sur le Web dans "des vies et des guerres
DEs vies et des Guerres (copie)
Tout rentrerais dans l'ordre, sinon nous serions obliger par sécurité de désarmer la 457 ...Malaise ...trés gros malaise. Le commandant embarrassé nous demanda
Ben les gars , - combien etes -vous ? - 22 avec les sous Officiers Nous comprimes qu'il connaissait pas notre effectif. Nous étions vraiment dans une situation on ne peut plus délicate. Aprés réfléxion , il ajouta
Vos dispositions sont, de nuit comme de jour, si un incident grave survient: autorisation de dégager. Vous embarquez dans deux camions : vous rapatriez? vos armes individuelles et le mieux d'armes que vous pouvez et rentrez dare-dare içi au PC
Soulagement) "Merci Mon commandant " Nous lui avons demandé de plus de ne pas confirmer cette information a notre transmission, car il lisait toutes les informatins, Alors tout les quatres, nous signames le manifeste que le commandant fit établir .
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Commentaire de cet ancien militaire du contingent FSE de la 457 UFL-UFO qui ne dût la vie, qu'au dévouement de plusieurs de ses camarades qui l'ont transportès a l'Hopital et qui se sont fait assassinés au retour. Voir ( Mémoires des Hommes MPF "Gonzalez Paul 29/06/1962 ) ( MPFGonzalez Paul 29/06/1962 - mémorial Genweb)
<< Mais de toute manière, depuis cette tragique histoire, je garde une dent contre tous « ceux de l’époque » qui ont laissé de pauvres appelés entre les mains des fellaghas pour prétexter du maintien de l’ordre contre l’OAS.
J’ai déploré surtout leur dégagement, leur manque de responsabilité, leur abstention (sous diverses prétextes) d’être a nos côtés dans le pire.
Pouvait-on blâmer un pauvre sous –lieutenant appelé pour mener avec expérience, mais en toute responsabilité une telle « mission (..) »
Merci à vous «messieurs de l’époque » de vous être tous dérobés à votre devoir, merci pour l’exemple à ne pas suivre que vous avez transmis bon mal gré aux générations futures.
Cet exemple qui fait « messieurs » que vous ayez terni l’image de ceux, vos pairs qui ont essayé et essaieront d’assumer dignement en toute responsabilité vos erreurs du moment et qui a fait de vous des pauvres types planqués »
A la 457 ème UFL il y avait 24 FSE dont 5 gradés (19 hommes de Troupe)
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Voir sur site ceux qui se considérent comme des (Justes) ???
www.harkisdordogne.com/.../liste-des-justes-de-l-armee-francaise-en-alg...
Il y a 7 jours - Liste des Justes de l'Armée Française en Algérie 1962 Lt Bénéssis de ... Lieutenant François MEYER du 23ème Spahis
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Avant cette péripétie sur la force locale 457 raconté par Lilian Dumont, les chasseurs d'un autre régiment de chasseurs le 18ème RCC, avaient subit une catastophe dans les Aurès dans le djebel du Chélia le 1er Aout 1959
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Rien sur la 458° UFO............Mais ....? dans le livre de Maurice Faivre, Les Combattants musulmans de la Guerre d'Algérie, Des soldats sacrifiés
Les combattants Français de souche européenne n'étaient pas sacrifiés.!...????
Désigné en avril 1962 par le colonel Bernard Commandant le 19°RCC pour mettre sur pied une unité de la force locale (UFL) le capitaine J deF refuse de commander des fels. Convoqué par le Géneral de Mendite commandant le CA d'Alger il se voit infliger un mois d'arrêt de forteresse qu'il accomplit a la CCR de Tizi Ouzou où il est bien accuelli et se voit confier des tâches de décoration et d'impection des matériels.Pendant ce temps l'UFLde Bouira manifeste et fait la gréve, perds queques déserteurs, est contactée par le FLN et participe aux ordres du sous Préfet , a la fouille du quartien européen
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Pour voir "les évenemets" de 1958 du 19ème RCC
La bataille d'Izerouel · SAHARIDJ TRIBUNE laouari.unblog.fr/la-bataille-dizerouel/
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Merci pour la visite de mon site Yvon Priou
Date de dernière mise à jour : 17/12/2019
Commentaires (1)
1. maignan 11/07/2017
c'était le lieutenant Poitou qui commandait les force locale en 1962 a Tiliouat